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ACTU VÉLO
Épisode 3 - Pont de Normandie - Après l’avis favorable de la CADA, la CCI nous communique l’étude. 
Après plusieurs mois d’attente, le rapport de l’étude du cabinet Inddigo, commandée par la CCI Seine Estuaire en 2019 sur la sécurisation des cyclistes sur le pont de Normandie, nous a été transmis en début de semaine. Comme nous le supposions, des solutions sont présentées dans ce rapport. Les 31 mars et 1er avril, à l’initiative du Collectif Vélo Normandie, se sont tenues les 2èmes rencontres normandes du vélo à Rouen. En marge de ces rencontres, le Collectif avait organisé une conférence de presse avec les acteurs mobilisés pour la sécurisation de la traversée des cyclistes sur le Pont de Normandie : représentants des associations AF3V et FUB et élus se sont donc retrouvés le vendredi matin. Vélo & Territoire a immédiatement relayé le communiqué de presse accompagné de la photo souvenir. Le communiqué de presse du Collectif ainsi que le texte de notre déclaration connexe ci-dessous :  Le communiqué de presse du collectif  La déclaration CP AF3V  Le cabinet du président de la CCI Seine Estuaire avait décliné l’invitation à participer à cette conférence de presse, pour cause d’agenda surchargé du président et du directeur général, mais a proposé une réunion de travail aux associations et aux élus. Elle aura lieu le 2 mai dans les locaux de la CCI à Le Havre. Parallèlement, nous avons reçu une réponse à notre courrier adressé au Préfet de Normandie, demandant à rendre l’étude du cabinet Inddigo publique. Ce dernier s’en remet à la CADA (?!), précisant que “l’étude n’est pas en sa possession et qu’elle n’entre pas dans la liste des documents de la CCI dont la transmission est obligatoire à l’autorité de tutelle” :  Nous attendions donc avec impatience la réponse de la CADA. Celle-ci est tombée le 19 avril : avis favorable ! La CCI nous a par conséquent fait parvenir le rapport d’étude du cabinet Inddigo le 25 avril. Ce qu’on en retient : des accès nord et sud retravaillés et sécurisés pour les cyclistes, 2 scénarios de cheminement mixte piétons-cyclistes de 2m ou 2.20m sur le tablier du pont, conditionnés à un abaissement de la vitesse de 90km/h à 70km/h. Ce qui correspond à ce que les associations demandent sur cet axe. Prochaine étape : une réunion de travail avec la direction de la CCI le 2 mai. Réunion pour laquelle, grâce à l’étude d’Inddigo, nous allons pouvoir préparer nos questions et arguments. Petite revue de presse du mois VIDÉO. Le pont de Normandie, point noir pour les vélos : une nouvelle piste cyclable en bonne voie? | Paris-Normandie  Vidéos : Le Havre. La dangerosité du pont de Normandie pour les cyclistes – Paris-Normandie  Cyclistes sur le pont de Normandie : la CCI contrainte de communiquer son étude | 76actu
Sophie POUILLY | le 27/04/2023
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STAGE ECOMOBILITE : Offre à saisir
Recrutement d'un stagiaire Chargé de projet «écomobilité» 1. Présentation de l'association HESPUL HESPUL est une association à but non-lucratif de type «loi de 1901». Créée en 1991, elle a pour but et objet social le développement de l’efcacité énergétique et des énergies renouvelables. A l'initiative du premier toit photovoltaïque raccordé au réseau en France, elle anime aujourd'hui le centre national de ressources sur le hotovoltaïque. HESPUL porte le service Espace INFO->ÉNERGIE Rhône-métropole en coopération avec l'ALEC de la métropole de Lyon. A ce titre, l'association renseigne les particuliers, les collectivités locales et les professionnels sur toutes les questions liées à l'énergie. Plusieurs pôles d'activités travaillent dans l'objectif des territoires à énergie positive (TEPOS) pour lesquels HESPUL apporte une assistance dans leur mise en œuvre. Les activités d'écomobilité entrent dans cette perspective d'accompagner les TEPOS dans leur trajectoire. Pour mieux nous connaître rendez-vous sur nos sites web : www.hespul.org www.infoenergie69-grandlyon.org www.photovoltaique.info 2. Contexte Les activités du pole éducation et sensibilisation vise à mobiliser les citoyens sur les trois axes du scénario négawatt à savoir la sobriété, l'efficacité et les énergies renouvelables en s'appuyant sur les 4 secteurs conventionnels sur lesquelles sont calculés les émissions de GES pour les particuliers : l'habitat, les transports, l'alimentation, la consommation. Depuis 2011, HESPUL accompagne la région Rhône-Alpes, devenue Auvergne-Rhône-Alpes, dans l'animation du Challenge mobilité en direction des entreprises. L'objectif est d'inviter les salariés à essayer un autre mode de déplacement que la voiture individuelle pour se rendre sur leur lieu de travail et de réduire ainsi les émissions de GES. HESPUL relaie et anime cette initiative sur le département du Rhône en coopération avec les collectivités et les clubs d'entreprises. Depuis 2015, HESPUL réféchit avec la maison du vélo de Lyon, Pignon sur Rue, et les collectivités locales volontaires, à des projets d'écomobilité utilisant le vélo sur les premiers et derniers kilomètres. Nous avons été retenu dans un appel à projet de l'ADEME déposé par la communauté de communes Saône Beaujolais, auquel nous avons activement contribué. Ce projet est en cours et se terminera en septembre 2019. Le principal objectif opérationnel est de développer les déplacements domicile travail à vélo (et vélo train) en optimisant le trafic à vélo sur la voie verte reliant Beaujeu à la gare SNCF de Belleville. Celle-ci dessert les zones industrielles/artisanales et les communes adjacentes à l’axe de la voie verte. Cet aménagement qui est actuellement surtout utilisé pour des déplacements de loisirs pourra alors etre optimisé pour des déplacements pendulaires. L'ambition est de réaliser un report modal pour désengorger la gare de Belleville et les parkings des entreprises en bordure de la voie verte, d’apaiser la circulation des centre-bourgs, de réduire les émissions de gaz à efet de serre et les consommations d’énergie fossile du territoire. Par le biais de ces deux dispositifs d'animation sur la mobilité, ainsi que d'autres dispositifs d'animation portant sur les différents secteurs cités plus haut, HESPUL invitent les populations à s'approprier la transition énergétique dans leur quotidien. D'autres pistes de recherche, en partenariat avec des spécialistes de la mobilité et des sciences humaines nous amène à être à l'écoute des acteurs des territoires et à construire avec eux des projets d'écomobilité. 3. La mission confiée au stagiaire 3.1 Objectif du stage Faciliter le report modal dans le cadre du projet avec la communauté de communes Saône Beaujolais et celui du Challenge mobilité régional. Enquêter, animer, rencontrer les acteurs des territoires pour faciliter ces reports modaux et l'abandon de la voiture individuelle. Aider à la construction de «success-stories écomobilité» pour sortir du fatalisme de la voiture individuelle indispensable en milieu périurbain et rural. 3.2 Description des missions dans le cadre du stage 3.2.1Dans le cadre du projet « Vélo et voie verte en Beaujolais » : Faciliter l’appropriation de ce projet par les habitants : Rencontrer les communes, les acteurs économiques et touristiques. Organiser avec les habitants et les acteurs associatifs locaux des animations sur la thématique des déplacements à vélo envisagé pour la semaine du développement durable au mois de juin. Mettre en place des actions de valorisation de la voie verte comme axe structurant pour des déplacements quotidiens à vélo. 3.2.2 Dans le cadre du Challenge mobilité régional : Contacter les entreprises et collectivités du Rhône ayant déjà participé au Challenge écomobilité. Rencontrer les clubs d'entreprises et des représentants du personnel de nouvelles entreprises pour présenter le Challenge mobilité. Aider les référents des équipes de salariés à gérer les inscriptions sur le site internet. Organiser des évènements locaux pour promouvoir le challenge mobilité Repérer les freins et les atouts pour réduire l'usage de la voiture dans les déplacements domicile-travail. 3.2.3 Dans le cadre d'un travail prospectif sur l'écomobilité : Repérer les appels à projets susceptibles de répondre à la mobilité des TEPOS. 4. Cadre Poste basé à Lyon (69) au sein de l'association Hespul, vous etes particulièrement en lien avec le pôle « Education et sensibilisation » Durée du stage : 6 mois en 2019 le plus tôt possible. Indemnisation suivant les textes en vigueur soit 3,75€/h (ex : 525 € pour le mois de décembre) Tickets restaurant sur demande La mission s'effectuera principalement dans les locaux d'Hespul avec des déplacements sur le département du Rhône. Le stagiaire travaillera avec une « équipe projet » composé du coordinateur du pôle « Education-sensibilisation » et d'une chargée de la communication au sein de HESPUL. Le stagiaire définira avec le coordinateur de pôle et « l'équipe projet » la hiérarchie des missions, les principales fonctions, les partenariats, les outils de médiation, les objectifs de qualités. Des missions annexes en lien avec le thème pourront être proposées. 5. Profl recherché Désir d'acquérir un savoir-faire dans l'animation de projets, de rechercher des partenaires, d'orienter la mission vers l'acquisition d'une culture commune et partagée sur la transition énergétique et l'écomobilité entre les différents acteurs du projet. Désir de mettre en place des méthodologies qui doivent participer à cet objectif : ateliers, rédaction de documents et d'articles, diffusion numérique, réunions s’inscrivant dans cette démarche. Désir de connaître davantage les acteurs de la mobilité, les pratiques d'écomobilité, les réglementations actuelles pour animer et conduire les projets présentés. S'intéresser au concept de développement durable et aux pratiques d'éducation populaire facilitera la participation active du stagiaire. Envoyer CV et lettre de motivation à Thierry MANCEAU, par mail : recrutement@hespul.org ou par courrier : Association HESPUL, 14 place Jules Ferry, 69006 LYON
Webmaster | le 20/11/2018
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FUB/Plan vélo : Invitation des élus au Salons des maires et des Collectivités locales
La FUB et ses associations participent au SALON DES MAIRES et DES COLLECTIVITES LOCALES à PARIS-Porte de Versailles du 20 au 22 Novembre 2018. Son stand est extrêmement bien placé (en face de celui de Renault) et représente un investissement significatif : plus de 10 journées de travail, plus de 6000€ de location, brochures et voyages SNCF... Le thème de notre stand est celui de la brochure "Plan vélo/ Mode d'emploi" éditée à cette occasion. L'équipe d'administrateurs et de salariés de la FUB y recevra les 60000 visiteurs attendus, élus, fonctionnaires territoriaux, bailleurs sociaux, fournisseurs de collectivités etc... Notre objectif est de pousser le rôle de la FUB et de ses associations dans la mise en oeuvre locale du #PlanVelo. Pour cette première participation, l'équipe est résolue à prendre le maximum de contacts afin de renforcer la notoriété et la contribution potentielle des associations de la FUB auprès des décideurs et influenceurs locaux prendre le maximum de contacts pour renforcer votre action : détection d'opportunités, demandes d'interlocuteurs cyclistes, de création d'association représentative, de services vélo... qui vous seront retournées. Nous vous remercions par avance d'inviter tous vos contacts - élus et fonctionnaires - à passer sur notre stand D76 Pavillon 3.2 à l'occasion de leur visite au SMCL.
Webmaster | le 19/11/2018
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Ecologie, hausse du carburant : Que nous restera-t-il à commémorer en novembre 2068 ?
Olivier Schneider, président de la FUB soulève de bonnes questions : Que nous restera-t-il à commémorer en novembre 2068 ? Nous sommes entre le 11 Novembre et le mouvement des “gilets jaunes” du 17 novembre. Et je me pose une question : “Que pourrions-nous commémorer en novembre 2118 ?” De la première moitié du XXe siècle, on retiendra sans doute d'abord l’aveuglement qui a mené à des millions de morts durant les deux guerres mondiales. La seconde moitié, elle, sans être exempte de guerres, est celle d’une certaine prospérité et surtout de la croissance, avec comme marqueur la démocratisation de la voiture individuelle. Mais la voiture individuelle, bien que d'usage très commode, génère ce que les économistes appellent des “externalités”, c’est à dire des “nuisances faites à autrui, sans compensation”. C’est un fait, la voiture pollue (participant aux 48 000 décès prématurés chaque année dus à la pollution de l’air) et contribue au dérèglement climatique (les transports génèrent 27% des émissions de gaz à effet de serre et leurs émissions continuent de croître chaque année). Par ailleurs, l’importation de carburants est une des causes majeures du déséquilibre de la balance commerciale de la France (30 milliards d’euros par an). La voiture contribue également largement à l’actuelle pandémie de sédentarité, qui fait des ravages de plus en plus importants, avec un coût annuel estimé à plus de 65 milliards d’euros. Passons rapidement sur le coût de l’insécurité routière, 50 fois plus élevé que les recettes des radars contre 1 milliard pour les recettes des radars, dont la quasi intégralité contribue au budget de la Sécurité routière. Des décennies d'’organisation du territoire autour de la voiture a mené à un incontrôlable étalement urbain, mais également à la désertification commerciale des villes moyennes, au profit de zones commerciales dotées de grands parkings, avec à la clé des dégradations de l'environnement, la perte du commerce de proximité et un cercle vicieux de relégation sociale. Tout cela mis bout à bout se chiffre en milliards. En réalité, nous vivons simplement au-dessus de nos moyens financiers, mais surtout - c’est bien plus grave - environnementaux. Et c'est toute la société qui trinque, à commencer par les plus démunis. Le devoir de mémoire passe aussi par la reconnaissance des erreurs du passé. Ainsi, on réhabilite des poilus fusillés pour l’exemple, dont le refus de continuer le carnage était tout simplement légitime. Face à l'urgence climatique, la menace tangible de l'effondrement, il faut avoir le même courage et enfin l’avouer : la politique du tout-voiture a été une erreur. Inciter les Françaises et les Français à se sur-équiper en diesel, désormais classé cancérigène, était une ineptie. Continuer à installer des équipements publics, tels des hôpitaux ou des pôles emploi, “loin de tout, car le foncier y est moins cher” part d'un raisonnement à court terme qui se focalise sur des économies de bout de chandelle qui contribuent à exclure les plus fragiles, puisqu’ils ne sont accessibles - efficacement - qu’en voiture. Or, contrairement à une idée répandue, tout le monde n’a pas accès à la voiture, même en zone rurale. Et ceux qui en ont une ne l'utilisent pas forcément au quotidien. C’est là que le bât blesse. Si la hausse actuelle des prix des carburants fait effectivement mal au portefeuille de nombreux citoyens qui se considèrent - souvent et à juste titre - comme peu fortunés, cette hausse ne doit pas occulter les 12 millions de personnes qui peinent quotidiennement à se déplacer, même au prix habituel du gazole, et tous les demandeurs d'emploi contraints de refuser un travail faute de moyen de transport pour y accéder. Ainsi, la solution ne passe pas par une baisse des prix ou par un simple chèque-carburant, qui ne feraient que rétablir la situation d’avant la hausse, n’apportant aucune solution nouvelle aux véritables exclus de la mobilité. Ce qu’il faut ? Une véritable transition, basées sur des politiques globales ambitieuses et cohérentes. Le covoiturage, la sauvegarde du ferroviaire, l’optimisation des transports publics, l’amélioration des conditions de circulation à vélo sont autant de pistes qu’il faut pousser à développer à tous les échelons, conjointement, en premier lieu en reversant davantage aux territoires une partie de la fameuse "taxe carbone”. Mais il serait naïf de croire que les efforts conjugués de l’Etat et des collectivités, ou encore de miraculeux progrès techniques suffiront à résoudre réellement la situation. Ce serait un mensonge que d’affirmer qu’une ou deux mesures-phares résoudront le problème. La seule solution consiste à accompagner un changement profond, réfléchi, coordonné et durable des comportements,. Il faut admettre que se déplacer n’est jamais ni neutre, ni gratuit, et en tirer les conséquences. Culpabiliser les citoyens qui subissent les conséquences de mauvais choix des politiques des 70 dernières années, serait reproduire - à une moindre échelle - les fusillés pour l’exemple de 1917. Je voudrais - en novembre 2068 - pouvoir dire à mes arrières-petits-enfants : il y a 50 ans, en novembre 2018, nous avons enfin pris au sérieux les enjeux transverses du climat, de l’épuisement des ressources, de l’organisation du territoire : nous avons changé de mode de vie en un temps record, car nous avions enfin compris que nous n'avions pas le choix. Cela n’a pas été facile, nous avons dû changer nos habitudes, remettre en cause tout un tas d’évidences. A l’époque, en 2018, même les trajets de moins de 1 kilomètre étaient majoritairement effectués en voiture : une véritable addiction ! On allait prendre l’avion pour passer un week-end et le kérosène n’était même pas taxé. L’incrédulité dans les yeux de mes arrières-petits-enfants-là sera-t-elle moindre que celle de ceux qui aujourd’hui entendent parler des atrocités de la grande guerre, du cauchemar des tranchées, de la folie des offensives suicidaires, des “innovations meurtrières”, les barbelés et autres gaz de combat qui ont provoqué tant de morts et remis en question les conditions d'existence de toute une génération ? Espérons. Espérons que du XXIe siècle on ne retienne pas un nouveau type d’aveuglement, celui d’un début de suicide collectif dans l’indifférence générale… Nous avons peu de temps. A peine deux ans d’après l'ONU et le GIEC. Plutôt que de chercher des responsables à qui faire porter la responsabilité d’un possible échec, prenons tous notre part à l’effort et au succès de l'offensive : changeons. Soyons solidaires, altruistes, astucieux. Faisons tout pour promouvoir auprès de nos concitoyens ces valeurs. Il n’est pas trop tard, et bien des solutions sont en réalité loin d’être des punitions : le covoiturage est l’occasion de tisser un nouveau type de lien social, la marche et le vélo permet de sécréter notre potentiel d'endorphines, le télétravail fait gagner du temps libre et génère moins de stress... Si nos arrières-grand-parents ont su se sacrifier pour la Paix que nous vivons aujourd'hui, nous devons pouvoir réussir la transition écologique pour nos arrière-petits-enfants et pour leur assurer la Paix de demain ! —  Olivier SCHNEIDER Président de la FUB Fédération française des usagers de la bicyclette
Webmaster | le 15/11/2018
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Bilans des manifestations 2018
AUVERGNE - RHÔNE-ALPES : Isère BOURGOGNE-FRANCHE-COMTE : BRETAGNE : CENTRE - VAL de LOIRE : GRAND-EST : HAUTS-de-FRANCE : ÎLE-DE-FRANCE : Essonne/Yvelines - Val-d'Oise - Yvelines NORMANDIE : NOUVELLE-AQUITAINE : OCCITANIE : Gard PROVENCE-ALPES-COTE-D'AZUR : Var AUVERGNE - RHÔNE-ALPES - Isère La ronde cycliste des vélos "Partageons la route" Date : Dimanche 16 septembre 2018 Commune : Le Touvet et Goncelin Compte-rendu : Belle journée et belle manifestation, ce dimanche 16 septembre organisée par GRENE et le Rif. Les cyclistes ont été nombreux, une cinquantaine le matin, pour parcourir une ou deux et même trois boucles entre le Touvet et la gare de Goncelin. Une trentaine de tous âges (dès 6 ans) l’après-midi pour découvrir le circuit, de la gare de Goncelin à Tencin par la véloroute le long de la voie de chemin de fer, puis la traversée de la vallée vers la Terrasse, en passant par le pont et la base de loisir, et enfin retour par la véloroute jusqu’au site sur lequel des stands avaient été installées à proximité de la déchèterie du Touvet. Ces deux parcours ont permis de mettre en évidence (si c’était nécessaire) de la dangerosité de ces traversées de la vallée pour les piétons et les cyclistes et de l’urgence de mettre en place des solutions sécurisées pour tous, alors que les villages sont interdépendants (gare sncf, autoroute, commerces et toute nouvelle V63); A midi un apéritif a permis aux cyclistes de rencontrer et d’échanger avec les élus qui se sont déplacés. Les maires du Touvet, de la Terrasse et de Goncelin, ainsi que madame Kamowski députée de la circonscription ont apporté un soutien sans réserve à notre action. Organisateurs : Association Grésivaudan Nord Environnement et l’association Le Rif ÎLE-DE-FRANCE - Essonne et Yvelines Le viaduc de Fauvettes et la voie verte du pays de Limours bientôt sur la Véloscénie ? Date : Dimanche 16 septembre 2018 Commune : Bures-sur-Yvette Compte-rendu : Deux balades amenaient au viaduc des Fauvettes, avec plusieurs points de rendez-vous à Massy et à Bures-sur-Yvette,près de 40 cyclistes arrivèrent sur le viaduc. Une partie assista à plusieurs spectacles prévus en contrebas du viaduc (ainsi qu'une conférence sur l'histoire de la voie verte et la ligne de train qui la précéda), d'autres poursuivirent par la voie verte vers Bonnelles, et au-delà jusqu'à Rambouillet. Nous (avec MDB) avons rencontré le maire de Bures-sur-Yvette à cette occasion. Nous l'avons invité à l'inauguration de la Véloscénie du samedi suivant, il était au courant. Nous lui avons dit qu'il restait beaucoup, voire tout, à faire pour la Véloscénie à Bures. Il nous a dit travailler avec la CPS sur l'aménagement de la Véloscénie sur sa commune. Il semble que des aménagements de type zone 30, double sens cyclable soient prévus entre la gare de Bures et la Véloscénie. Organisateurs : Mieux se Déplacer à Bicyclette, délégation régionale AF3V Ile-de-France ÎLE-DE-FRANCE - Val-d'Oise Marche militante sur l’Avenue Paris-Londres Date : Samedi 15 septembre 2018 Commune : Sagy Compte-rendu : La marche militante pour l'aménagement de la traversée cyclable prévue du rond-point de Sagy sur la RD26/l'Avenue Verte Paris-Londres, était aussi au programme de l'AF3V. Lien vers un article du Parisien : http://www.regard-sur-sagy.fr/la-marche-citoyenne-vue-par-les-medias-leparisien-fr-et-la-gazette-du-val-doise https://twitter.com/CergyVelo/status/1042410108360318976 https://twitter.com/CergyVelo/status/1041399175047467010 Organisateurs : Allez-y en Vélo - Délégation départementale AF3V ÎLE-DE-FRANCE - Yvelines Inauguration de la Véloscénie à Bonnelles Date : Samedi 22 septembre 2018 Commune : Bonnelles Compte-rendu : Le tronçon, long d'1, 2km pour 120 000€, a bénéficié d'une subvention "Territoire à énergie positive pour la croissance verte". Ce tronçon a été réalisé 2 ans après le passage de la randonnée militante "Dynamobile" qui avait été très bien accueillie pour son étape à Bonnelles. L'inauguration elle-même a été faite par des enfants de l'école qui ont franchi à vélo le ruban. Un apéritif déjeunatoire avait été prévu sous chapiteau, de la documentation sur la véloscénie, une participation nombreuse des habitants. Les associations cyclistes étaient bien représentées: AF3V, Association Rambolitaine des Cyclistes et Mieux se Déplacer à Bicyclette, membres de la FUB; FFCT Codep 91 et 78. Nous nous étions regroupés à une vingtaine sur la Véloscénie en amont, à Gometz-le-Châtel. Nous avons rencontré le maire de Bonnelles, le conseiller départemental du secteur Rambouillet. Étaient également présents la député de la circonscription, et le sénateur, ancien maire de la ville voisine . Nous avons abordé avec le maire : l'entretien, le revêtement (avec la contrainte d'être sur le territoire du PNR...) et la signalisation. Il nous a dit que le revêtement en stabilisé avait été imposé par le PNR de la Vallée de Chevreuse. Il avait déjà été recouvert par les précipitations de juin, mais déblayé depuis. Nous avons également insisté auprès du conseiller départemental qu'il fallait continuer au-delà de Bonnelles vers Rambouillet. Organisateurs : Association Rambolitaine des cyclistes Urbains, délégation AF3V et la Mairie de Bonnelles OCCITANIE - Gard Fêtez la belle voie verte du pont du Gard Date : Samedi 6 septembre 2018 Commune : Meynes Compte-rendu : Sous l’égide de l’AF3V et dans le cadre des fêtes nationales en faveur des voies vertes et véloroutes, nous avons fait la fête comme promis ! Nous souhaitons remercier tous ceux qui nous ont aidés, soutenus depuis 2009 en vue d’obtenir le lancement des travaux de la Voie Verte du Pont du Gard : citoyens, producteurs, hébergeurs, mairies et élus départementaux, tous ont été au rendez-vous dans une ambiance festive. Il y en a eu pour tous les goûts : les jeunes, les vieux, les sportifs, les poètes et tous les autres. Un joli mélange comme on les aime et de belles rencontres comme on en fait sur la voie verte. Cette fête, centrée sur le territoire proche, tant pour les artistes que pour les producteurs, se veut être le symbole des retombées économiques attendues lorsque la communication touristique du Gard sera à la hauteur du beau réseau de voies vertes, des eurovéloroutes et du patrimoine Unesco mis à portée de pédales. Pour voir les photos : https://www.facebook.com/Voie-Verte-Du-Pont-Du-Gard-1927532810832359 http://voievertepontdugard.brts.fr La fête était belle et conviviale ! Vive la Voie Verte du Pont du Gard ! Vive le Gard à vélo ! Organisateurs : Association de la Voie verte du Pont du Gard PACA - Var Fête de la Méditerranée à vélo sur la Vigne à vélo Date : Samedi 8 septembre 2018 Commune : Les Arcs-sur-Argens – Draguignan Compte-rendu : Le 8 septembre, la délégation régionale AF3V - SUD (Provence-Alpes-Côte d’Azur) proposait, dans le cadre des Journées Nationales des Voies Vertes, une animation s’inscrivant dans la fête de la Méditerranée à vélo, organisée en partenariat avec la Communauté d’Agglomération Dracénoise (C.A.D) et la Coordination de la Méditerranée à vélo (Vélo Loisir Provence et la Région SUD). Cette journée coïncidait avec le départ de la 1ère étape de Plus Belle La Voie, randonnée militante de l’AF3V. Plusieurs cyclistes locaux, notamment des membres des cyclos-club de Lorgues et Aups ont accompagné la vingtaine de participants inscrits pour la 1ère semaine de Plus Belle La Voie. Une belle occasion de découvrir les paysages de la Dracénie en pédalant sur la Vigne à Vélo et l’EuroVelo 8 entre Flayosc et Lorgues en empruntant de magnifiques voies vertes. Accompagnés tout au long de la journée par la pétulante Magalie Amare, chargée de mission à la C.A.D, les cyclistes ont pu apprécier l’accueil qui leur a été réservée par les élus (maires et conseillers municipaux, conseillère départementale, président de la C.A.D…) lors des trois rendez-vous (petit-déjeuner aux Arcs-sur-Argens, rafraîchissements à Draguignan et apéritif à Lorgues). Durant toute la journée, la promotion de l’EuroVelo 8 / La Méditerranée à vélo était assurée par Vélo Loisir Provence sur le stand Dracénie Tourisme. Voir des images de la journée sur la vidéo des Poulets Bicyclettes. Organisateurs : AF3V Délégation régionale SUD – Provence-Alpes-Côte d’Azur, Communauté d’Agglomération Dracénoise, Comité d’itinéraire de la Méditerranée à vélo. PLUS BELLE LA VOIE 2018 Date : Samedi 8 septembre 2018 Commune : Draguignan Compte-rendu : Pour la 6ème édition de Plus Belle La Voie, l’Aprovel, délégation de l’AF3V pour la région SUD – Provence-Alpes-Côte d’Azur proposait un voyage itinérant à vélo de 700 km environ, du 8 au 21 septembre, entre Les Arcs-Draguignan et Peralada près de la frontière espagnole. Cette randonnée s’est déroulée en autonomie complète sur la Méditerranée à vélo, partie française de l’Eurovelo 8 qui, une fois achevée, devrait totaliser 5 888 km du sud de l’Espagne à Chypre en traversant onze pays. Carnet de route L’itinéraire « la Méditerranée à vélo » a franchi un cap cette année avec la sortie du premier carnet de route officiel, largement diffusé dans les offices de tourisme situés sur le parcours. Il s’inspire de celui réalisé à l’occasion de la randonnée Plus Belle La Voie 2017 qui a représenté un test grandeur nature et constitué un retour d’expériences précieux pour le lancement de la véloroute. En effet, l’an dernier, l’AF3V SUD avait organisé une randonnée du même type, sur cet itinéraire, mais, cette fois, en juin et dans l’autre sens entre Argelès et Nice et montré qu’il était possible de trouver des alternatives sécurisées pour garantir la continuité de l’EuroVelo 8 grâce à un diagnostic sur la qualité des infrastructures mais aussi sur l’intérêt des parcours proposés. Aujourd’hui, de belles continuités disposent désormais d’un jalonnement avec l’identifiant la Méditerranée à vélo / EuroVelo 8 même si bon nombre de sections sont des parcours provisoires dans l’attente de réalisations plus concrètes sur le tracé définitif. La promotion de l’itinéraire Comme d’autres randonnées militantes organisées par les associations adhérentes à l’AF3V, Plus Belle La Voie est l’occasion de montrer que de tels projets reliant les villes entre elles, répondent à une demande aussi bien pour les déplacements des habitants des villes et campagnes traversées que des touristes. Ces itinéraires offrent également la possibilité de découvrir l’itinérance à vélo et le pays autrement, permettant ainsi d’améliorer le cadre de vie des habitants et de favoriser le développement économique et local. Cette année, l’AF3V et la coordination de l’itinéraire animée par Vélo Loisir Provence proposaient deux fêtes de La Méditerranée à vélo, l’une à Draguignan, à la découverte de la Vigne à vélo, animation inscrite dans le cadre des Journées nationales des Voies Vertes (voir bilan sur le site de l’AF3V) et l’autre à Palavas-les-Flots avec un village de stands pour vivre à vélo, les Journées du Patrimoine. D’autres animations ont ponctué le parcours et ont permis de rencontrer des associations, des professionnels du tourisme et plusieurs élus locaux qui ont tenu à nous accueillir comme, par exemple, la présidente du Conseil départemental des Pyrénées-Orientales. Convivialité Pour la première semaine, une vingtaine de participants ont pris le départ pour effectuer la totalité du parcours, rejoints à Palavas par une vingtaine d’inscrits pour la deuxième semaine seulement. Une trentaine de cyclistes, chargés comme des mules, ont pratiqué le cyclo- camping ; les autres (une dizaine) s’étant arrangés pour réserver des hébergements en dur. Plus de la moitié avait déjà participé à l’édition précédente. Comme l’an dernier, une excellente ambiance a régné et il a été possible de résoudre la plupart des problèmes techniques grâce à l’entraide au sein du groupe. Tous ont apprécié la douceur du climat, les baignades, les paysages variés et les nombreuses autres animations qui ont ponctué le parcours : pots d’accueils, pique-niques partagés, repas communs en chansons et surtout dégustations (vin, huîtres) et visites (chapelles, cascade, miellerie, découverte de l’ocre, chantier de charpenterie de marine, Maison de l’Etang, paquebot ensablé Le Lydia…) La plupart de ces animations étaient proposées par les élus et techniciens des 21 collectivités partenaires du comité d’itinéraire. Un bilan très positif Une nouvelle fois, l’Aprovel / AF3V aura permis à de nombreux participants de partir à la découverte d’un axe structurant et d’inciter les collectivités à poursuivre leurs investissements pour accueillir un public large dans les années à venir. Cette réussite a été rendue possible grâce une organisation conjointe de l’AF3V et de Vélo Loisir Provence (VLP) qui anime la coordination de l’itinéraire avec la Région SUD. Camille et Sylvie de VLP se sont relayées pour pédaler une semaine chacune afin de veiller au bon fonctionnement de la partie logistique et assurer la visibilité de l’événement. A noter, la présence de journalistes à vélo qui ont suivi toute la randonnée. A Palavas, Sébastien Baholet a passé le relais à Ségolène Chignard qui devient la nouvelle chargée de mission vélo de la Région SUD, collectivité qui pilote le comité d’itinéraire. Tous deux, ont roulé à vélo sur plusieurs étapes. Nous étions également accompagnés pour une journée par les associations locales d’usagers et les cyclo-clubs mobilisés en faveur du vélo pour tous. Entre les deux périodes proposées, l’une en région SUD des Arcs-Draguignan à Tarascon et l’autre en Occitanie entre Palavas et la frontière espagnole, plusieurs cyclistes ont fait un détour jusqu’au Pont du Gard en empruntant, depuis Beaucaire, l’Eurovelo 17 et la voie verte du Pont du Gard. Ils étaient accompagnés par une cinquantaine de cyclistes mobilisés par l’association VV Pont du Gard, délégation AF3V 30. Une belle occasion de montrer aux responsables du site et aux élus départementaux et régionaux présents que le réseau de VVV peut constituer un levier touristique et économique. Voir vidéos, interviews, photos et reportages sur la page facebook « PlusBelleLaVoie2018 », le site lamediterraneeavelo.org , la page facebook lamediterraneeavelo et le blog des Poulets Bicyclettes. Organisateurs : APROVEL, Délégation régionale AF3V Provence-Alpes-Côte d’Azur
Webmaster | le 30/10/2018
ARCHIVES AF3V
CIDUV : Enquête sur les différentes pratiques du vélo - Répondez-y !
Depuis longtemps, l'idée que les différentes pratiques (loisirs, sportive, quotidienne, utilitaire) du vélo sont étanches apparaît comme une évidence. On admet ainsi sans difficulté que le « cycliste du dimanche » qui utilise le vélo pour ses loisirs et se promène avec ses enfants ou roule avec ses copains sur une boucle locale, celui qui s'entraîne au quotidien en vue de courses sur route auxquelles il participe régulièrement, ou encore celui qui joue à l'équilibriste sur une piste de VTT, ne se confondent guère avec celui qui se sert de son vélo comme mode de déplacement pour aller de son domicile à son travail ou faire ses courses. Il n'est pas exclu cependant que la réalité soit plus complexe et/ou évolutive. La Coordination interministérielle pour le développement de la marche et de l'usage du vélo s'interroge donc sur l'existence d'une certaine « porosité » des pratiques. Il s'agit également d'apprécier un éventuel effet d'entraînement d'une pratique sur une autre. Au moment où le Premier ministre vient d'annoncer un Plan vélo et mobilités actives, assorti d'un fonds Mobilités actives qui vient en complément de la part de la Dotation de soutien à l'investissement public local ciblée sur le vélo et les plates-formes de mobilité, notamment pour développer des infrastructures cyclables, il a paru intéressant de tenter d'objectiver ces perceptions. Dans cette optique, un questionnaire a été mis au point avec l'appui du Cerema. Il est concis mais devrait permettre d'éclairer certaines questions, notamment : la pratique de la balade à vélo entraîne-t-elle un usage utilitaire ? Si c'est le cas, dans quelles proportions ? A l'inverse, la pratique du vélo utilitaire se traduit-elle par de nouveaux licenciés dans les clubs sportifs ? Et à quelle hauteur ? Un vif merci de prendre quelques minutes pour répondre à l'enquête : http://enqueteur.cerema.fr/index.php?sid=19663&newtest=Y&lang=fr Nous ne manquerons pas de vous informer des résultats de cette enquête
Webmaster | le 24/10/2018
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